La GESTION PRIVEE qui diminue vos impôts
Les alchimistes de la Renaissance n’ont peut-être pas réussi à transmuter le plomb en or, mais au 21e siècle, on fait mieux. On transforme les revenus d’intérêt et les dividendes en gain en capital reporté. Autrement dit, pour les actifs hors du REER et CELI on parvient à diminuer de plus de 50% votre facture d’impôt!
Si vous magasinez en ce moment votre cabinet de GESTION PRIVÉE, l’aspect fiscal devrait figurer dans le haut de vos priorités. Il est aussi important que les honoraires de gestion et l’historique de rendement. Votre gain NET de frais et NET d’impôt doit être le déterminant. Toutes les boutiques et stratégies fiscales ne sont pas égales. Les points de valeur ajoutée qui touchent la fiscalité doivent retenir votre attention.
Dans les années 80, le gain en capital était déjà plus avantageux que les revenus d’intérêt et de dividendes. Il était taxé à 75%. Quelques rares groupes financiers comme Placements CI ont alors créé leur structure corporative. En 1998, le ministre des Finances Paul Martin abaissé le taux d’imposition du gain en capital à 66% puis à 50% en 2000. C’est alors que de grands manufacturiers de produits financiers comme AGF, Dynamique, Fidelity, Mackenzie, Franklin Templeton, Invesco-Trimark, etc ont saisi l’occasion et ont conçu des portefeuilles de placements dans des incorporations plutôt que dans des fiducies de fonds communs. On parle ainsi de SICAV (société d’investissements à capital action variable).
Plus âgée est la structure corporative d’une famille de SICAV, plus elle sera avantageuse pour ses clients. Une société d’investissements qui a vécu la guerre du Golfe, l’éclatement de la bulle techno et la crise du crédit peut avoir en réserve des centaines de millions, même des milliards de dollars de pertes en capital. Si bien qu’elle peut annuler pendant de nombreuses années, voir plus d’une décennie le gain en capital à venir.
AIDE MÉMOIRE
Avant de confier des centaines de milliers de dollars ou même des millions à une équipe de gestionnaires, voici des éléments à considérer :
- Y a-t-il une structure corporative en place?
- Quand a-t-elle été fondée?
- Y a-t-il des pertes en capital accumulées?
- Puis-je y détenir des investissements en obligations sans engendrer de versement imposable?
- Est-ce que la société a des ententes avec le département du revenu américain (IRS) quant à la retenue d’impôt sur dividende?
- Combien d’options de placement la structure comporte-t-elle? (plus il y en a mieux c’est)
- Puis-je faire des « retraits de capital » réguliers (non imposable) et laisser les gains croître à l’abri de l’impôt?
- Préparez-vous TOUS les feuillets fiscaux de fin d’année sans frais supplémentaire?
- Montrez-moi un historique « vérifié » d’au moins dix ans, présentant les rendements, l’impact fiscal et les frais.
Chez Major Gestion Privée, nous avons des réponses satisfaisantes à toutes ses questions. Nous accordons toute notre attention à la préservation du capital et cela passe par l’efficacité fiscale de nos solutions.